Ceux qui aiment le Théléthon ont pris le train. Volet n° 2.
N'oubliez pas ce mercredi 7 décembre, à 20heures, dans la salle des élus, à la mairie du Pays de Belvès, dictée ludique du Téléthon. Il ne s'agit que de partager, dans la bonne humeur, un moment au profit de l'A.F.M. Deux promesses; la dictée sera beaucoup plus courte que la version 2015 et, par ailleurs, elle sera, a priori, beaucoup plus facile. Pour la faire il faut réunir deux conditions, avoir un peu d'humilité et avoir envie de participer à une cause caritative qui a besoin de tous. |
Reportage photographique © Bruno Marty
Il y a 19 ans Patrice Chéreau nous emmenait à Limoges avec le film, trés dur, "Ceux qui m'aiment prendront le train". Le train du Téléthon, bien entendu n'a rien à voir avec la mort d'un artiste-peintre tyranique mais, tout au contraire, est un appel à la mobilisation pour une oeuvre en faveur de la science.
Cette année l'affrètement du Train Téléthon a permis aux personnes venues soutenir la mission hautement caritative du Téléthon de réunir, dans la fraîcheur matinale, les personnes au départ de Monsempron-Libos. La commune de Monsempron avait mis en place un sympathique buffet pour les voyageurs.
Le train fila vers le Périgord où il accueillit des voyageurs dans les gares intermédiaires; essentiellement à Belvès. Là les élus sonrt venus saluer le passage du train avant de filer vers le castrum pour honorer les autres animations du jour.
Au passage au Buisson, conduits par Mérico Chies, de solides gaillards prêts à partir vers leur périple sportif, lors du passage du train, ont apporté leur chaleureux soutien,
Tout au long du trajet Bruno Marty, depuis la cabine de conduite, a photographié les paysages et sites rencontrés.
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Les voyageurs du Téléthon à l'arrivée à Périgueux.
Photo © Bruno Marty.
Le président Jean-François Martinet prépare les billets. Avant le départ il a reçu, à Monsempron, des mains d'un S.D.F un écot de quelques euros. Ce geste d'altruisme, d'une générosité hors du commun, l'a bouleversé . Il ne savait comment remercier ce sympathique donateur.
Photo © Bruno Marty.
La collecte des soutiens. Jean-Marc Xuereb, manager de lignes S.N.C.F, dont celle de Périgueux-Agen, remet la billetterie aux voyageurs.
Photo © Bruno Marty.
Observez bien le poste à leviers de la gare de Monsempron. Sur la gauche de l'image un curieux garde-signaux félin a pris place dans les leviers et règne sur ce monde sécuritaire comme chez lui.
Photo © Bruno Marty.
La photo de groupe précédant le départ.
Photo © Bruno Marty.
C'est parti pour une échappée vers le Périgord.
Photo © Bruno Marty.
Nicolas Blay sera le conducteur attentionné de ce train. J-François Martinet adresse un message de bienvenue aux voyageurs.
Photo © Bruno Marty.
Le passage à Sauveterre-la-Lémance et l'arrivée au Souterrain de Latrape plus cionnu sous l'appelation de tunnel du Got. Le petit point de clarté sur l'image de droite serait la lumière du jour de l'autre issue de ce tunnel en courbe.
Photo © Bruno Marty.
Le franchissement du Rivatel sous le viaduc de Larzac. Gérard Rebeyrol a commenté la particularité de cet ouvrage remarquable. L'image de la gare de Belvès avec le point kilométrique 571, pris depuis Paris, à gauche de l'image.
Photo © Bruno Marty.
Nicolas du T.E.R, baptisé "Vallée d'Aspe", observe le quai avant de repartir.
Photo © Bruno Marty.
Les Lot & Garonnais découvrent le paysage périgordin. Deux adolscentes, peu captivées par le sillon de la Nauze, écoutent de la musique. L'une d'entre elles arbore un tee shirt qui ne manque pas d'originalité.
Photo © Bruno Marty.
Le T.E.R rencontre la double voie à Siorac avant d'atteindre Le Buisson.
Photo © Bruno Marty.
Le carré de sortie (damier rouge et blanc) de la gare du Buisson s'est effacé. Ces signaux manuels disparaissent du décor ferroviaire, au fur et à mesure de l'avancée de la modernisation, pour être remplacés exclusivement par des signaux lumineux. Le Z indique une zone et le 30 la limitation de vitesse à observer. La voie est donc libre vers Niversac. Après le viaduc de Vic on trouve la séparation des lignes, à gauche on rejoint Libourne et Bordeaux et à droite on part vers Périgueux et Limoges.
Photo © Bruno Marty.
Aprés avoir dépassé la gare des Eyzies, point de croisement sur la voie unique, le train qui a rencontré le signal à l'ouverture lui donnant la voie libre, passe au piédroit de l'église de Tayac.
Photo © Bruno Marty.
Le village de Miremont précède de quelques hectomètres le mégalithe du 45 ème parallèle. Cette borne est implantée au niveau du lieudit Fumel, c'est à dire ulégèrement au nord du parallèle.
Photo © Bruno Marty.
L'ancienne gare de La Gélie précédée du court tunnel, de ce lieudit, dont on aperçoit le jour à la sortie.
Photo © Bruno Marty.
Niversac et son château d'eau octogonal. Gérard Rebeyrol a commenté tous les particularismes patrimoniaux de cette gare de bifurcation qui campe toujours, depuis 1863, dans son bâtiment provisoire.
Photo © Bruno Marty.
Le voyage aller se termine à Périgueux avec un accueil de la chorale "Amalgame" et de clowns "Des boules au nez" qui apportent de l'humour à l'hôpital.
En haut de la tour Mataguerre, grâce, à l'érudition de Martine Balou on découvre Périgueux d'une manière très originale.
Photo © Bruno Marty.
Les coupoles de Saint Front vues de la tour Mataguerre.
Photo © Bruno Marty.
Un grand merci à Périgord rail +, à son président Jean-François Martinet, à Jean-Marc Xureb, manager de lignes S.N.C.F, aux clowns des "Boules au nez", à la chorale "Amalgame", aux élus qui, indirectement, ont accompagné l'opération tout particulièrement les équipes municipales de Monsempron, Belvès et Périgueux, à Gérard Rebeyrol pour sa présence et pour la richesse de ses commentaires, à tous les participants avec un coup de chapeau pointé pour ce sympathique S.D.F qui nous a donné à tous une belle leçon de générosité.
P.F